Cette semaine à Accessible ou non?, on rencontre Julien, un créateur d’entreprises de 40 ans. Tétraplégique depuis un accident d’auto, il nous fait visiter son domicile et les adaptations conçues pour répondre à ses besoins. En route pour les bureaux de sa Fondation Adapte-toit, on parle d’enjeux de transport. On l’accompagne aussi au musée et on discute de tourisme et loisirs avec Isabelle Ducharme de Kéroul. Enfin, la capsule Bonnes pratiques nous indique comment rendre nos lieux vraiment inclusifs!
Guest(s) : Julien Racicot Thomas Bastien, directeur de l'éducation et du mieux-être, Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) Louise Giroux, responsable des programmes éducatifs et de mieux-être, Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) Isabelle Ducharme, présidente du conseil d’administration, Kéroul Sophie Lanctôt, directrice générale, Société Logique
Les personnes handicapées ont les mêmes désirs que tout le monde... avoir des loisirs, visiter des attraits touristiques, magasiner, manger au restaurant, étudier, travailler. Vivre, tout simplement! Mais, peuvent-elles avoir accès à ces lieux et activités? Rencontrent-elles des difficultés dans leurs déplacements? Quels types d’obstacles pavent leur route? Sont-elles bien accueillies? Accessible ou non? part à la rencontre de personnes ayant différents handicaps pour connaitre leur point de vue. Nous recevons aussi des professionnels de l’accessibilité pour faire le tour de la question. Nous apprendrons, entre autres, comment nous pouvons concevoir nos bâtiments et notre environnement afin qu’ils soient accessibles à tous. En somme, comme société et comme citoyens, que pouvons-nous faire pour être plus inclusifs?
Souriante, ricaneuse et chaleureuse, Aube est passionnée de voyages. Ce qui la captive avant tout, c’est la découverte des autres et de leur propre réalité. À ses yeux, rien n’est plus enrichissant. Après des années comme designer graphique, Aube a eu envie d’explorer d’autres facettes des communications. Elle a aussi ressenti le vif besoin de se sentir utile à des gens qui, comme elle, sont à mobilité réduite. C’est ce qui l’a menée à vouloir contribuer à rendre le monde plus accessible pour les personnes handicapées.